Je vais relire "La mort à Venise " de Thomas Mann.
Ce matin j'ai écouté en boucle l'Adagietto de la Symphonie numero 5 de Gustav Mahler.
C'est tout à fait les états d'âmes dont j'ai besoin pendant les "Fêtes" tant redoutées.
Pourtant Venise c'était si beau le 18 avril 1978,
c'était le printemps, et trois jours après notre mariage, nous avons traversé la Yougoslavie, rejoint Klagenfurt par Lubiana.
Dormi au bord du lac de Velden et rejoint Bolzano par Villach,
Spittal, Möllbrücke, et Lienz.