Sarrebruck, la ville, en vélo de St.Johanner Markt à la Saarkran
Petit tour de la ville en vélo avant le retour.
On dit que Sarrebruck (Pont de la Sarre) est la plus « française » des villes allemandes, ses cafés avec terrasses invitent à la pause et la flânerie quand il fait beau.
La centrale thermique Römerbrücke
Sa cheminée est haute de 160 m on passe devant en vélo sur les berges de la Sarre La ville a été récompensée par l’ONU en 1992 par le prix de l’environnement grâce aux mesures innovantes prises dans le domaine énergétique.
Fröschengasse Ruelle des Grenouilles : habitations anciennes
d’ouvriers et d'artisans.
L’église Johanneskirche : néo-gothique 1894-1898
Le château de Sarrebruck et la place du « mémorial invisible
»
2 146 pavés sont encastrés sur le chemin du château, ils portent gravés sur le côté sous terre les noms des cimetières juifs. Réalisé en 1993 par les étudiants en arts plastiques, c’est la « Place du mémorial invisible ». « Castellum Sarabrucca »première appellation en 999. Château fort puis renaissance, le prince Wilhem Heinrich édifie l’ensemble baroque au XVIIe siècle. Au centre la conception verre et acier contemporaine de Gottfried Böhm
La place du château et l’Hôtel de ville
Bulbe baroque sur la tour de l’Horloge
L’hôtel de ville St. Johann style néo-gothique (au fond)
La tour possède un carillon, sur la façade de grés rouge, des sculptures représentent les anciens corps de métiers: mineur, métallurgiste, paysan, brasseur de bière, négociant, tanneur et Saint Georges terrassant le dragon.
La Saarkran
Grue de chargement est le témoin du passé commercial de la ville
Le marché St. Johann , St Johanner Markt
Le cœur de la ville en zone piétonne avec cafés et bistrot et le matin ,le marché
ce n'est pas encore la « Provence » mais presque.

Le pont (Alte Brücke)
Erigé par Charles Quint en 1546, il n’y a pas de photos pour la bonne raison que nous sommes dessus, il relie St. Johanner Markt au Château en passant sur la Sarre. Les escaliers, sur une passerelle latérale aménagée pour les vélos permettent de rejoindre la rive et la piste cyclable .
On dit que Sarrebruck (Pont de la Sarre) est la plus « française » des villes allemandes, ses cafés avec terrasses invitent à la pause et la flânerie quand il fait beau.

Sa cheminée est haute de 160 m on passe devant en vélo sur les berges de la Sarre La ville a été récompensée par l’ONU en 1992 par le prix de l’environnement grâce aux mesures innovantes prises dans le domaine énergétique.



2 146 pavés sont encastrés sur le chemin du château, ils portent gravés sur le côté sous terre les noms des cimetières juifs. Réalisé en 1993 par les étudiants en arts plastiques, c’est la « Place du mémorial invisible ». « Castellum Sarabrucca »première appellation en 999. Château fort puis renaissance, le prince Wilhem Heinrich édifie l’ensemble baroque au XVIIe siècle. Au centre la conception verre et acier contemporaine de Gottfried Böhm

Bulbe baroque sur la tour de l’Horloge

La tour possède un carillon, sur la façade de grés rouge, des sculptures représentent les anciens corps de métiers: mineur, métallurgiste, paysan, brasseur de bière, négociant, tanneur et Saint Georges terrassant le dragon.

Grue de chargement est le témoin du passé commercial de la ville

Le cœur de la ville en zone piétonne avec cafés et bistrot et le matin ,le marché
ce n'est pas encore la « Provence » mais presque.


Erigé par Charles Quint en 1546, il n’y a pas de photos pour la bonne raison que nous sommes dessus, il relie St. Johanner Markt au Château en passant sur la Sarre. Les escaliers, sur une passerelle latérale aménagée pour les vélos permettent de rejoindre la rive et la piste cyclable .